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Jeudi 18 décembre 2014.

Sortie de ZEP, maintenir les moyens pour nos enfants !

La FCPE 93 se félicite de l'accroissement du budget alloué à notre département ainsi que de l'augmentation du nombre des écoles et des collèges entrant dans les réseaux REP et REP+, mais nous regrettons néanmoins que certaines écoles et établissements risquent de voir brutalement leur moyen réduit.

 

L'absence de concertation préalable a généré des conflits durs entre la communauté scolaire et les autorités de l'Education nationale, pénalisant ainsi des familles qui ont fait le choix de s'installer sur des territoires souvent difficiles.

 

L'absence de bilan des « années ZEP » inquiète les parents qui se voient retirer ce critère, et obère le débat scolaire en le réduisant à une bataille d'indices statistiques. La réalité, c’est que 40% des enfants de cadres sortent du système scolaire avec un bac +5 alors qu’ils ne sont que 4% chez les enfants d’ouvriers : l’Ecole de l’élitisme a échoué !

 

Cette situation ne peut plus durer. C’est pourquoi, la FCPE de la Seine-Saint-Denis réitère sa demande de maintien des moyens en direction des élèves des écoles et des établissement « sortant de ZEP » afin de rétablir la confiance et la sérénité nécessaires pour assurer un avenir pour chaque élève de notre département.

 

Comment s’expliquer que les écoles maternelles et primaires rattachées aux collèges sortant du dispositif deviennent « orphelines Â», et risquent de perdre ainsi leur moyens, alors qu’elles se situent dans des quartiers dits difficiles?

 

Parce qu'il n'est plus acceptable de se retrouver à chaque fois au pied du mur, nous souhaitons désormais que pour l'ensemble des réformes à venir et qui concernent l'avenir de nos enfants, la Co-élaboration devienne la règle.

Mercredi 17 décembre 2014.

La FCPE Sarthe, à nouveau la cible de l’extrême-droite et de mouvements nazis !

Dans la nuit du 15 au 16 décembre, la FCPE Sarthe a été une nouvelle fois la cible de mouvements d’extrême-droite.

 

Quatre symboles nazis représentant la run du loup en réference à la Waffen SS (logo de la 2e division SS DAS Reich et de la 4e Division SS Polizei Panzergrenadier Division) ont été tagués à l’entrée du siège de la FCPE départementale, sur la porte, les murs et les marches.

 

Le Président départemental de la FCPE Sarthe a reçu pour sa part, un lettre nominative d’insulte et de menace.

 

Pour rappel, dans la nuit du 8 au 9 octobre, quatre graffitis représentant la croix celtique symbole des mouvements d’extrême-droite avaient été tagués à l’entrée des locaux du siège de la FCPE départementale.

La FCPE 72 ne peut que s’indigner par cet acte lâche et déposera à nouveau une plainte contre X.

La FCPE alerte les pouvoirs publics sur ce climat nauséabond qui traverse actuellement la société et qui menace les fondations mêmes de la tolérance et du vivre ensemble.

La FCPE forte de ses valeurs et de ses engagements en faveur de l’enfant d’abord, ne cédera devant aucune intimidation. Aucun acte abjecte ni aucun propos ne la fera taire.

Elle continuera d’agir en faveur d’un service public d’éducation fondé sur les valeurs de liberté, égalité, fraternité et laïcité ; pour une école qui respecte l’enfant dans sa globalité qu’il soit français ou étranger et forme des citoyens libres et éclairés pour une société toujours plus juste et solidaire.

Samedi 11 octobre 2014.

Signez la pétition pour les remplacements

Les parents d’élèves de Seine Saint Denis, la FCPE 93 ont de l’ambition pour l’école de leurs enfants.

Nous voulons de bonnes conditions d’accueil et de remplacement pour tous les élèves de Seine-Saint-Denis,

Aujourd'hui une fois de plus, notre département est stigmatisé et discriminé : la ½ journée banalisée du lundi 13 octobre a été traitée différemment par la Rectrice selon que l'on soit scolarisé dans le 93, le 77 ou le 94.

Pourtant, notre département souffre déjà d'un manque récurant de moyens humains et financiers, ce qui bafoue non seulement les textes mais ne permet pas non plus la continuité pédagogique.

C'est la capacité à assumer la réussite de tous les élèves qui est ainsi remise en cause.

La FCPE 93 et les parents veulent une école publique, laïque et républicaine, une école dans laquelle les élèves pourront vivre et apprendre sans discrimination d’aucune sorte et soit respectueuse des parents et des personnels.

La FCPE 93 demande un rendez vous à Madame la Ministre de l’Education Nationale très rapidement.

Nous exigeons un collectif budgétaire pour notre département.

Nous demandons la mise en place d'un comité de surveillance pour notre département concernant les absences non remplacées.

Pour que nos revendications  pèsent, complétez et déposez le kit de recours administratif  et exigez la continuité du service public d’éducation dans la classe de votre enfant.

Signez  la pétition,

Cliquez : http://93.fcpe-asso.fr/informations/actualites-departementales/616-petition

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Jeudi 9 octobre

Recours au tribunal administratif de la Seine-Saint-Denis

Recours au tribunal administratif de la Seine-Saint-Denis

par la FCPE 93

 

 

La FCPE de la Seine-Saint-Denis réaffirme son soutien plein et entier à la journée de consultation nationale  sur le socle commun.

 

Mais devant le refus des autorités de l’éducation nationale à déplacer la consultation des enseignants hors du temps scolaire, la FCPE 93 à pris la décision de déposer un recours en annulation auprès du tribunal administratif de Montreuil.

 

Si nous regrettons cette judiciarisations de la vie scolaire, la FCPE 93 trouve anormal que ce report ait été possible sur l’ensemble du rectorat sauf dans notre département de Seine-Saint-Denis.

 

Cette situation discriminante pour notre département est inacceptable, notamment au regard des difficultés pour les parents de faire face aux non-remplacements d’enseignants absents.

 

Si cette journée était maintenue par décision judicaire.

Nous invitons tous les parents à venir manifester

 

Le lundi 13 octobre à 10h

devant l’inspection académique de Seine-Saint-Denis,

8 rue Claude Bernard à Bobigny.

Lundi 5 mai 2014

La FCPE garde le cap pour la réforme des rythmes scolaires

La FCPE s’est engagée et continuera à soutenir la réforme des rythmes scolaires qui s’appliquera sur tout le territoire dès la rentrée 2014.

 

Le décret proposé ce 5 mai 2014 en CSE ne répond en aucun cas aux attentes de la FCPE qui veut une meilleure organisation du temps scolaire prenant en compte l’intérêt des enfants d’abord.

 

La FCPE à donc voté contre. L’esprit de la réforme est de favoriser les temps d’éducation partagés en créant un équilibre et une cohérence entre temps de classe et temps périscolaire.

 

La FCPE, qui n’a jamais demandé un assouplissement du décret sur les rythmes scolaires, n’est pas opposée à la possibilité d’expérimenter, mais ces expérimentations doivent être encadrées, évaluées pour apprécier leur pertinence et le respect des objectifs de favoriser la réussite de tous les enfants.

 

L’organisation du temps scolaire doit correspondre aux besoins des enfants et non aux intérêts des adultes.

Mardi 29 avril 2014

Pétition FCPE

 

« Pour la FCPE, les remplacements c’est maintenant ! »

 

http://fcpe93.org/petition/petition.html

 

Depuis plusieurs années, les élèves de Seine-Saint-Denis n’ont pas leurs nombres d’heures d’enseignement fixés par les textes. Il n’y a pas que les écoliers de notre département malheureusement ! Tous subissent les carences des gouvernements successifs concernant le manque d’enseignants pour assurer les remplacements. La FCPE a fait ce constat : Les absences de moins de 15 jours en constituent la majorité, 80% ne sont pas remplacées ; 75% des absences de courte durée peuvent aller jusqu’à 5 jours non remplacés dont 50% de ces absences sont égale ou inférieures à 2 jours. A ces absences de courte durée et parfois perlées, s’ajoutent les absences prévisibles d’une durée de plus de 15 jours (maternité, stages, etc. etc.…)

 

 

« Le manque d’enseignants rend difficile leur remplacement. »

 

Malheureusement cette situation n’est pas nouvelle, elle doit cesser maintenant. La FCPE craint que celle-ci ne perdure et s’aggrave. (Les propositions de l’Education Nationale au CDEN pour la prochaine rentrée scolaire restent insuffisantes.) Notre inquiétude est partagée dans tous les établissements scolaires de Seine Saint Denis par les parents, par les enseignants et leurs syndicats ainsi que des élus politiques. Là où les remplacements font cruellement défaut, ces absences ne lèsent pas uniquement la classe concernée mais toutes les classes de l’établissement, car les élèves de l’enseignant absent sont répartis dans les autres classes voir renvoyés chez eux. La FCPE a déjà alerté l’Education Nationale, malheureusement, faute d’effectif suffisant le problème ne se résoudra pas. Ces absences non remplacées recensées par la FCPE dans Ouyapacours nous permet de revendiquer les postes nécessaires pour exiger des remplacements pérennes au sein de l’Education Nationale et en particulier pour notre département. La FCPE 93 demande d’être reçue par le nouveau Ministre de l’Education Nationale Monsieur Benoît HAMON, pour lui demander la mise en place d’un collectif budgétaire pour la rentrée 2014-2015 : Nous rappelons aux pouvoirs publics, et aux élus de la nation, qu’ils sont comptables des moyens qu’ils attribuent au service public d’éducation pour que celui-ci assure l’égalité des chances sur l’ensemble du territoire : Lorsqu’un déficit d’encadrement conduit à une dégradation de la vie collective dans les établissements scolaires ; Lorsque la continuité pédagogique est rompue par le manque de personnels remplaçants. C’est bien la qualité du service public d’éducation c'est-à-dire sa capacité à assurer la réussite de tous les élèves, qui est remise en cause. « Afin de donner plus de poids à nos revendications signer la pétition » Pour obtenir des conditions d’accueil et de remplacements décents pour tous les enfants de notre département.

 

Signer et faites signer la pétition en ligne « Les remplacements c’est maintenant » Lien :

http://fcpe93.org/petition/petition.html

Mercredi 09 avril 2014

Déclaration solennelle de l’assemblée

Monsieur le ministre, La FCPE, première fédération de parents d’élèves, porteuse des valeurs de coéducation, réaffirme la nécessité impérieuse de mener à son terme la refondation de l’Ecole engagée par la loi du 8 juillet 2013, pour tous les enfants. La réforme des rythmes scolaires doit être poursuivie. L’urgence de mieux répartir le temps scolaire sur la semaine est reconnue par tous, afin que chaque enfant puisse mieux apprendre à l’école. C’est également une formidable occasion de mettre de la cohérence entre les différents temps de vie des enfants. Pour cela, la FCPE demande la pérennisation du financement par l’Etat de la mise en place des activités périscolaires. Poursuivre la refondation nécessite de tenir bon également sur la promesse des 60 000 créations de postes dans l’Education nationale. Les engagements annoncés, en termes de scolarisation des moins de trois ans, d’inclusion des élèves en situation de handicap, de refonte de l’éducation prioritaire notamment, sont à ce prix. Le gouvernement doit tenir compte des prévisions d’accroissement des effectifs des élèves de la direction de l’évaluation, de la prospective et de la prévision pour les prochaines rentrées et de l’insuffisance actuelle du nombre d’enseignants. La refonte des contenus des programmes scolaires est au cœur du projet de refondation de l’Ecole. Les travaux engagés par le Conseil supérieur des programmes pour aller vers une plus grande cohérence entre les cycles, entre l’école primaire et le collège, pour décloisonner les disciplines, pour mieux articuler les contenus d’enseignement et la recherche, doivent être poursuivis. Enfin, la réforme du collège doit être engagée. Il y a urgence à transformer ces quatre années pour atténuer les ruptures avec l’école primaire, développer l’interdisciplinarité, préparer les élèves à construire leurs propres choix d’orientation, dans des établissements qui soient de véritables lieux de vie pour des adolescents et des futurs citoyens.

Lundi 17 mars 2014

Quand les enfants pourront-ils aller aux toilettes à l’école ?

Maux de ventre, incontinences, infections urinaires, manque d’intimité, manque de propreté, insécurité : pour la FCPE, le constat de l’Observatoire national de la sécurité (ONS) est accablant et inquiétant. Un scandale que la FCPE dénonce depuis des années ! Et il est inadmissible de voir que ce problème de santé publique n'est toujours pas réglé. En 2008 déjà, la FCPE avait amené l’ONS à lancer une enquête nationale sur ce sujet. Pour la FCPE, cette situation émane d’une responsabilité collective : directeurs d’école, chefs d’établissements, personnels d’entretien, enseignants, collectivités territoriales ! Depuis des années, la FCPE propose des solutions pour qu’il soit mis fin à ce triste constat. L’élaboration d’un cahier des charges déterminant les normes techniques des sanitaires et prenant en compte la conception des locaux, leurs équipements, et les conditions d’entretien et d’hygiène, ne peut plus attendre. Il est également de la responsabilité des adultes de travailler sur cette question avec les élèves au sein des commissions d’éducation à la santé et à la citoyenneté. La FCPE sollicite ses conseils locaux et ses élus aux conseils d’école et conseils d’administration des collèges et des lycées pour inscrire ce sujet à l’ordre du jour et continuer à dénoncer ce que toutes les enquêtes menées par la FCPE ont démontré. Elle demande que « l’Ecole bienveillante », inscrite dans la loi de refondation, devienne enfin, au quotidien, une réalité pour les élèves.

Jeudi 06 février 2014

Pour une « école en grand », la FCPE s’invite dans la campagne des municipales

A moins de deux mois des élections municipales, les militants FCPE questionnent les candidats aux élections municipales sur leurs intentions touchant les questions scolaires et périscolaires de leur champ de compétence.

 

Quatre grandes priorités seront au cœur de cette campagne : les rythmes scolaires, les infrastructures, la place des parents et la restauration. Un questionnaire et un tract, déclinables localement selon les problématiques se posant aux uns et aux autres, seront mis à leur disposition.

 

Pour voir « l’école en grand », la FCPE demande des emplois du temps qui répondent au mieux aux rythmes des enfants.

Pour voir « l’école en grand », la FCPE demande des locaux accueillants, pensés autour et pour les enfants.

Pour voir « l’école en grand », la FCPE demande un vrai projet de coéducation proposant des activités gratuites et construit en associant tous les partenaires de l’école, dont les parents.

Pour voir « l’école en grand », la FCPE demande un service public de restauration scolaire ouvert à tous, de qualité, avec une politique tarifaire équitable.

 

De plus, cette « école en grand » doit intégrer de nouveaux projets pédagogiques utilisant le numérique. Elle doit permettre l’accessibilité aux enfants en situation de handicap. Une plus grande ouverture aux parents d’élèves est indispensable.

 

Pour la FCPE nationale, la réussite de la refondation de l’école passe aussi par des priorités fixées au niveau local, dans le respect des compétences de chacun. Consciente que les aménagements pour les élèves passent d’abord par des engagements politiques durant les élections, la fédération invite donc ses militants à interpeller leurs candidats localement, sur le projet éducatif et les investissements qu’ils entendent mettre en œuvre sur leur commune.

 

Mardi 28 janvier 2014

Les ABCD de l'égalité

La FCPE de Seine Saint Denis soutient les « abcd de l’égalité » La FCPE de Seine Saint Denis tient à alerter les parents d’une offensive importante, menée dans de nombreux départements contre le programme « abcd de l’égalité » lancé par le ministère des droits des femmes. Liées pour certaines à l’extrême-droite et aux mouvements de « la manif pour tous », ces personnes font un amalgame entre ce programme et un enseignement de la « théorie du genre » dont l’objectif serait d’apprendre l’homosexualité aux enfants dès la maternelle. Ils invitent les parents à ne pas envoyer leurs enfants à l’école un jour par mois. Il n’y a rien de plus faux ! Les « abcd de l’égalité » visent à éduquer à l’égalité garçon-fille et à travers elle à lutter contre tout type de discriminations. Ces modules seront proposés cette année dans plus de 600 classes de la grande section de maternelle au CM2, avant d’être généralisés. L’objectif affiché du ministère des droits des femmes est d’ « amener dès le plus jeune âge les élèves à s’interroger sur leurs représentations du monde, les freins qu’ils s’imposent à eux-mêmes parce que filles, parce que garçons, le respect qu’ils se portent. » et de « prévenir très tôt les phénomènes d’autocensure comme ceux de violence, donner confiance en eux, aux filles comme aux garçons, pour simplement être soi en ne se laissant pas enfermer dans des carcans et des rôles prédéterminés et inégalitaires. Les opposants à ce projet cherchent à faire peur aux parents d’élèves en expliquant que la « théorie du genre » vise à remettre en cause les fondements naturels biologiques de l’identité des sexes afin de nier la différence entre un homme et une femme et à imposer l’homosexualité comme nouvelle norme sociale. Assez d’instrumentalisation ! Les « abcd de l’égalité » concourent à la lutte contre les inégalités de réussite scolaire, d’orientation et de carrières professionnelles entre filles et garçon qui sont, hélas, bien réelles. D’autant que ce type de projet pédagogique l’esprit critique et peut permettre de faire reculer tous les stéréotypes : racistes, d’âge, de classe.. Pour toutes ces raisons, la FCPE de Seine Saint Denis soutient les « abcd de l’égalité » et encouragent tous les parents à refuser les injonctions d’un petit groupe aux idées d’un autre âge qui y voient ici la remise en cause d’un quelconque ordre moral.

Jeudi 12 décembre 2013

À l’heure où le Programme international pour le suivi des acquis des élèves (PISA) pointe l’accroissement des inégalités au sein de l’école française, le collectif RASED rappelle son engagement dans la mise en œuvre d’une école plus égalitaire, une école bienveillante et prévenante pour la réussite de tous.


Plusieurs enquêtes signalent également que les élèves français sont stressés et développent des craintes, des peurs, voire des angoisses vis-à-vis de la note.


Tout cela montre qu’il faut rompre avec les pratiques d’élitisme, de mise en concurrence des élèves et des établissements. Il est important de développer les pratiques coopératives et d'entraide ainsi que de proposer une évaluation des élèves qui préserverait l'estime de soi. Une école bienveillante et prévenante est une école où l’on peut apprendre et réussir, en toute confiance.

 

Cette École a besoin de la présence accrue d'enseignants spécialisés et de psychologues de l'éducation nationale. Ils  contribuent à la réussite de tous les élèves, en apportant des solutions adaptées à ceux d'entre eux pour lesquels l'école ne va pas de soi.


Le ministère de l'Éducation nationale, à travers les chantiers métiers consacrés au RASED, annonce qu'il veut redonner une place à ce dispositif en mettant en avant « un pôle ressource de circonscription » consacré à la difficulté scolaire. Le collectif sera attentif à l'évolution des missions des personnels RASED qui ne pourront conserver leur légitimité et leur efficacité que dans l'aide directe apportée aux élèves à partir de regards croisés.


Les RASED sont une des pierres angulaires pour lutter contre les inégalités scolaires.


Reconstruire les RASED et les doter en personnels suffisants, spécialisés, formés, avec des compétences et un regard spécifiques, c’est lutter pour la réduction des inégalités scolaires et permettre de prévenir l’échec le plus tôt possible.


L'ambition pour les RASED traduira la volonté de faire de la réussite éducative pour tous un vecteur indispensable de la refondation de l'école de la République.

 

Elle pourra ainsi redonner confiance dans les vertus de l'éducation pour réduire les inégalités sociales, aux élèves, aux parents, aux enseignants.


Le collectif National RASED

Vendredi 13 décembre 2013

Résultats élections des parents d'élèves

Chers toutes et tous,

 

Le ministère de l’Education nationale vient de publier les résultats des élections de parents d’élèves.

Nous devons souligner que nous sommes encore cette année la seule fédération à être présente dans tous les départements. Et que nous restons la première fédération, dans le second degré comme le premier, avec respectivement 46, 95% et 15,49 % des voix.

 

Néanmoins, nous constatons la poursuite de la baisse de la participation et une érosion des voix des deux fédérations nationales, dans les mêmes proportions. Cette érosion se fait au profit des listes d’union, sur lesquelles figurent des adhérents de l’une ou l’autre fédération.

 

Nous avons donc encore un gros  travail d’information et d’explication sur le rôle des représentants de parents d’élèves, et sur l’importance d’être fédéré pour se faire entendre, tant au niveau local que national.

 

En effet, les résultats obtenus par « les listes de parents non constitués en association » sont préoccupants. Ces résultats soulèvent des questions sur l’application du principe démocratique au sein des établissements. En effet, ces parents sont trop souvent cooptés par l’équipe enseignante. Isolés, ils ne peuvent s’appuyer sur aucune structure leur permettant d’être bien informés sur le système éducatif, ni d’être représentés dans les instances départementales, régionales et nationales.

 

Il est urgent que le ministère trouve une solution permettant une véritable représentation des parents au sein des établissements et rappelle l’importance et la priorité de dialogue qu’il accorde aux fédérations de parents d’élèves !

Samedi 7 décembre 2013

La FCPE, première fédération de  parents d’élèves, se satisfait de l’annonce de la suppression prochaine de la note de vie scolaire.

 

Cet engagement a été pris ce matin, devant le Conseil supérieur de l’éducation, par le ministre de l’Education nationale Vincent Peillon.

 

Cette suppression fait suite à un vÅ“u que la FCPE avait présenté au CSE du 19 septembre dernier, dans lequel elle demandait son abrogation immédiate. Ce vÅ“u, soumis au vote, avait recueilli une quasi unanimité. 

 

Depuis sa création en 2005, la FCPE s’est battue contre cette disposition qui ne présente aucun intérêt éducatif et ne fait que stigmatiser un peu plus des élèves connaissant souvent des difficultés. Ce retrait est donc une avancée, dans l’intérêt des élèves.

Mercredi 4 décembre 2013

La France s’enfonce dans le classement de l’enquête PISA 2012 publié aujourd’hui. C’est sur ce point que se focaliseront beaucoup de commentaires mais, pour la FCPE, ce n’est pas ce classement qui doit retenir l’attention mais bien l’aggravation des inégalités par notre système éducatif.

 

Cette année encore, l’enquête pointe le creusement de l’écart entre les élèves les plus Â« faibles » et les plus « forts ». Plus grave encore, l’étude montre le mal être des élèves les moins favorisés au sein de l’Ecole.

 

Alors qu’en moyenne, dans les pays de l’OCDE, 78% des Ã©lèves issus d’un milieu défavorisé déclarent se sentir chez eux à l’école, en France, ils ne sont que 38%. Or, l’angoisse née de l’échec et de l’exclusion ne peut constituer une bonne base pour des apprentissages sereins.

 

Comme à chaque fois depuis sa première édition, PISA montre que les systèmes éducatifs qui réussissent le mieux sont ceux qui excluent le moins les élèves et ont le tronc commun le plus long, sans orientation précoce et sans redoublement.

 

Pour la FCPE, cette étude rappelle donc l’urgence de transformer l’Ecole en profondeur et d’aller vers un système tourné vers la réussite de tous les élèves, sans exclusion.

Mardi 26 novembre 2013

Mandat de participation en PDF

 

Chères adhérentes, chers adhérents,

 

Vous trouverez ci-joint les documents nécessaires aux président-e-s et aux délégué-e-s mandatés par leur conseil local à jour de leurs cotisations, permettant leurs participations : Mandats de délégué et de participation;

 

Pour voter, le conseil local doit être représenté par une personne disposant du « mandat de délégué Â» ; ci-joint excepté le président du conseil local.

Cette personne ainsi mandatée vote uniquement pour le conseil local ou elle est adhérente.

Lundi 7 novembre 2013

Nous regrettons que les parents d’élèves n’aient pas eu le droit légitime de faire entendre leurs exigences et leurs propositions relatives à cette réforme afin qu’elle s’applique dans les meilleures conditions.

 

La venue de Madame Pau langevin dénote de difficultés importantes dans l’instauration d’une mesure attendue par la FCPE 93 car faisant partie de l’une de ses douze exigences pour la réussite scolaire des enfants de maternelle et des écoliers en Seine Saint Denis.

 

Dans l’intérêt des enfants, nous considérons que la concertation et l’échange sont essentiels. Autant faut il que les discussions soient menées avec tous les intéressés afin de lever les freins, les éventuelles difficultés ou les atouts d’un territoire ou d’une commune.

 

Réunis en congrès le samedi 19 octobre 2013, la FCPE 93 a voté une motion portant nos exigences pour cette nouvelle étape pour les enfants et les parents (voir motion jointe).

 

Nous savons que les maires des autres communes séquano-dyonisiennes, qui se lanceront à la prochaine rentrée, travaillent actuellement sur les conditions d’application de cette réforme. Nous leur demandons, une nouvelle fois, de prendre en compte l’avis des parents, dans le seul intérêt des enfants. Peu l’ont fait. Nous le regrettons. Mais il est encore temps. Nous sommes toujours disponibles.

 

L’instauration des rythmes scolaires ne doit pas être un mauvais coup supplémentaire donné à une Education maltraitée depuis des décennies en Seine Saint Denis.

 

Contact :

François CUBIZOL        CDPE93

06 22 41 72 91              01 41 60 81 10

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